O28 JANVIER Airbus a accepté de payer 3,6 milliards de dollars (4 milliards de dollars) à la Serious Fraud Office britannique et à ses homologues français et américains pour régler une affaire de corruption, en attendant l'approbation du tribunal. La sanction concerne des paiements allégués à des consultants tiers sur plusieurs marchés. En vertu d'un accord de poursuites différées, le planificateur ne fera face à aucune accusation formelle. Bien que les procureurs puissent poursuivre des individus, aucun dpa britannique n'a jusqu'à présent conduit à une condamnation.
Cet article est paru dans la section Affaires de l'édition imprimée sous le titre "Airbus accepte de payer 3,6 milliards d'euros pour régler un cas de corruption"